Chalutier au travail devant les digues du port de Rabat.
C’est reparti pour Mohammedia ; arrivée en fin de journée. Petite marina avec deux pontons pleins à craquer ; petit port de pêche plein à craquer ; petit port de commerce … pas plein mais il y avait du monde.
Sympathique promiscuité avec les bateaux et barques de pêche. Difficile de dormir sur mes deux coques : un coup de vent est attendu samedi. Départ le vendredi (eh oui) 21 octobre pour El Jadida à 6h30 du matin.
J’ai frôlé quelques hauts fonds près de la pointe d’Azemmour, mais cette navigation de jour a permis à mon équipage de bien voir les bateaux de pêche et au passage le minaret de la Grande Mosquées de Casablanca.
El Jadida. A couple de Tahira, battant pavillon hollandais, et d’un équipage polonais sur un bateau de location.
Le port fortifié par les portugais s’appelait Mazagao. Ils l'ont fait solide.
L’intérieur des remparts.
L’extérieur des remparts.
Et la plage.
Le tour est fait ou presque. Le reste de la ville est vaste et moderne : rien à voir avec Asilah.
Pêcheurs de retour de mer. Les feux de route : un flash light de couleur blanche, rouge, verte, suivant le gout du patron ou le stock du marchand ?
Facile de comprendre pourquoi il faut veiller en mer : ils ne sont pas tous au port par manque de place.
Après trois jours d’escale mouvementée (des rafales à 52 nœuds dans le port pendant une journée), départ pour Essaouira. Il est temps de gagner vers le sud, l’hiver approche de mes tableaux arrière.
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